Difficile de ne retenir que six titres dans un genre aussi varié et prolifique que le suspense psychologique…
Enfance
– « Le chien des Baskerville » : des dizaines d’années après, je n’ai pas tant retenu l’intrigue précise que l’atmosphère brumeuse et sinistre, et les personnages hauts en couleur.
Adolescence
– « Un cri dans la nuit » : le premier d’une longue série de Mary Higgins Clark. Je me souviens avoir été happée par sa façon de mélanger les différents éléments de l’intrigue pour maintenir le lecteur en haleine.
– « Rebecca » : l’atmosphère pesante de Manderley, le sens du mystère, la plume impeccable…
Age adulte
– « Le client » : mon premier thriller judiciaire. Une histoire captivante, un rythme soutenu, des personnages décrits avec profondeur et subtilité : tout ce que j’aime
– « Cul de sac » (réintitulé « Piège nuptial » depuis) ou l’art d’allier avec brio l’humour et l’ironie à une tension haletante. Unique en son genre.
– « Ne le dis à personne » : parce qu’il fallait au moins un Harlan Coben dans cette liste, ainsi qu’une touche de romantisme ! Tous ces romans ont été portés à l’écran, avec plus ou moins de succès : hasard ou signe de leur potentiel narratif ? En tout cas, je ne l’ai pas fait exprès !